Mai 27

1er juin : rassemblement contre l’austérité

Le Front de gauche

POUR LA 6ème RÉPUBLIQUE
PARLEMENTAIRE ET SOCIALE

La proportionnelle à toutes les élections et une juste représentation des populations
Non au cumul des mandats et des rémunérations, une parité respectée
Une école publique et une laïcité intransigeante et étendue
L’arrêt de la décentralisation libérale et inégalitaire
Le respect des droits syndicaux

CONTRE L’AUSTÉRITÉ
ET LES LICENCIEMENTS BOURSIERS

Vite, une loi interdisant les licenciements boursiers quand les actionnaires font des superprofits
Halte à la spéculation financière, à la corruption et au lobbying des entreprises
Une fiscalité, nationale et locale, juste et progressive, sur tous les revenus
Des services publics de qualité au service de la population
Amnistie des militants syndicaux et associatifs
Une retraite décente pour tous à 60 ans

 

Avec nos camarades des pays d’Europe,

manifestons notre volonté d’une autre Europe
Au service des peuples et non des actionnaires

Rassemblement

Samedi 1er Juin, 10 heures

devant la Banque de France à Angoulême

Parti Communiste : pcf.16@wanadoo.fr

Parti de Gauche : pg16@lepartidegauche.fr

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Mai 26

Association 3LC à Cognac : Licence Libre et Neutralité du Net

Le 19 Juin et le 05 Juillet 2013, à 20H00, auront lieu, à l’espace culturel de Crouin (La Cale) à Cognac, deux présentations, organisées par l’association Logiciels Libres et Linux de Cgonac (3LC):

Mercredi 19 Juin : Licence Libre, pourquoi choisir Firefox ou Libre Office ?

Cette présentation à pour but de sensibiliser sur ce que sont les licences libres. Et pose en toile de fond la question du droit d’auteur, de la propriété intellectuelle et du brevetage. 

En effet la politique de la propriété intellectuelle, est très importante dans un monde capitaliste, car actuellement synonyme de propriété privée et donc un possible vecteur d’exploitation et d’inégalité. La licence libre est un outil permettant de ne pas donner l’exclusivité d’un savoir, d’une découverte, à ceux qui sont les premiers (où se disant les premiers) à en revendiquer la création.

Les mouvements militants ou politique revendiquent souvent la défense de cette outils sans savoir reelement de quoi il s’agit. Un grand amalgame est fait entre logiciel libre et gratuit, Quel logciel est libre ? Pourquoi ? Qu’est ce que cela veux dire ? Et qu’est ce que cela engendre, pour l’utilisateur et la société ?

Cette première présentation s’inscrit dans la lignée de future présentations qui auront lieu à partir de Septembre. Cette première aura pour but d’esquisser l’outils qu’est la licence libre, afin de comprendre la position sur le brevetage, la propriété intellectuel, et la propriétarisation du savoir qui seront présentés et débattu dans les prochaines présentations.

Mercredi 05 Juillet : Neutralité du Net, anonyme et libre sur internet

Cette deuxieme présentation à pour but de présenter, la notion de neutralité du net. Il ne s’agit pas d’un thème barbare destiné uniquement aux initiés de l’informatique. Le but est de comprendre pourquoi nos libertés sont actuellement menacée sur internet, comment les preserver, quelles sont les acteurs de cette privatisation, et quelles sont les enjeux aux niveaux de la société et de la liberté d’expression dans sa généralité.

La licence libre n’est pas à son origine un outil militant ou humaniste. C’est ce que l’on en fait qui lui donne cette propriété. Les membres de l’associations 3LC, ne sont pas des militants, Mais ils proposent ces présentations, afin de comprendre en quoi cette outils est utile et expliquent pourquoi il doit continué à être défendu.

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Mai 25

Cognac : Contrat local de Santé

Intervention des élus du PG au conseil municipal du 23 mai 2013.

L’adoption du contrat local de santé, nous est proposé aujourd’hui… pour permettre de valoriser des actions qui existent déjà…

Ce contrat inscrit dans le marbre l’accord de l’ARS (Agence Régionale de Santé) et d’une commune. Il est un des outils qui contribuent à la mise en place du Plan Régional de Santé (PRS) qui lui, décline les objectifs et les mesures prévues par l’Agence Régionale de Santé – bras armé de l’état pour mettre en oeuvre  la loi HPST… (Hôpital-Patient-Santé-Territoire, autrement surnommé « Loi Bachelot »).

Derrière ces sigles, des mots qui chantent une jolie chanson mais qui sonnent à nos oreilles comme de véritables impostures, car, croyez moi, le respect des droits des usagers et la réduction des inégalités sont bien le cadet des soucis qui ont animés la création de cette loi .

Derrière tout ça , que voit-on se profiler ?

Comme dans d’autres domaines, nous sommes face au démantèlement méthodique, sournois mais efficace des services publics et face à leur privatisation.

La Coordination Nationale des Comités de Défense des Services Publics, association dont beaucoup d’entre nous, ici, font partie, ne s’y est pas trompée, elle réclame, depuis longtemps l’abrogation de cette loi scélérate qui piétine le système de santé français.

La loi HPST est dans la droite ligne de la RGPP (Réforme Générale des Politiques Publiques). Elle instaure une nouvelle « gouvernance », elle prône l’hôpital-entreprise dans lequel la gestion doit être comparable à celle du système marchand… Donc à des années lumière du « chacun utilise selon ses besoins et cotise selon ses moyens » qui a permis, au lendemain de la guerre à des hommes soucieux de l’intérêt général d’inventer le système social français.

La loi HPST exige, sous prétexte de ré-organisation, de bonne gestion:

 

  • le regroupement des hôpitaux (avec pertes de lits, perte de la proximité….)
  • ferme des services, des maternités, des urgences

 

Le personnel, outre « l’évolution » de son statut qui, à mon avis, ressemble plus à une régression qu’à autre chose, est, comme dans d’autres sphéres, relégué au niveau d’une « variable d’ajustement »…
Encore une formule de communicant pour dire précarisation….

La loi HPST ne parle plus de Services Publics mais de « missions » de sevice public… façon déguisée de faire glisser, de faciliter le passage du public au privé… en toute bonne foi et en toute légalité, les « missions » lucratives tombant souvent dans les même escarcelles…

Les patients, quant à eux, s’ils veulent être soignés devront mettre la main au portefeuille… S’il est vide advienne que pourra… Remettre les soins à plus tard, laisser s’aggraver son état de santé.

Le problème de la désertification médicale, lui, a été prudemment abandonné en cours de route.

Avant l’ére du président Hollande, nous avons combattu cette loi, avec à nos côtés, nombre d’entre vous, aujourd’hui rien n’a changé : la loi est toujours là.

Le Contrat Local de Santé est un des dispositifs de cette loi, il n’est qu’un cadre technique, qui n’apportera rien de plus aux usagers, rien de plus aux acteurs locaux (les fonds ne cessent de diminuer sur notre territoire), nous voterons contre cette contractualisation, qui légitime et actualise la mise en place de la loi Bachelot.

La loi HPST doit être abrogée et non tacitement acceptée
par sa prise en compte au niveau local au travers de ce contrat local de santé.

 

Sylvie Mamet

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Mai 22

Emploi d’avenir, pour quel avenir ?

Intervention du groupe Parti de Gauche au Conseil Municipal de Cognac du 23 Mai 2013

Emploi d’avenir pour quel avenir ?
Celui que nous dessine nos gouvernants sans discontinuité depuis 20 ans ?

Emploi d’avenir, un contrat de travail particulier, un de plus ; avec exonération de charges, alors que les caisses de la Sécurité Sociale sont déficitaires.

Un contrat pouvant être financé jusqu’à 75% du SMIG par l’état.
Si l’état se donne les moyens de financer ce type de contrat, pourquoi n’augmente t’il pas la dotation aux collectivités, pour que ces dernières créent les emplois statutaires dont elles ont besoin ?

Un emploi d’avenir de la même veine que les TUCS, SIVP, CES, CAE, emploi jeune, CUI, et autres ; alors qu’il n’y a jamais eu d’évaluation pertinente de ces différents contrats, pour démontrer leurs effets positifs sur le chômage.

Nous sommes pour d’autres solutions plus radicales, car il faut un véritable traitement de fond pour arriver à combattre et vaincre le chômage.
Ce n’est pas en instaurant l’austérité, que les élus qui accréditent ce choix y parviendront.
Cette situation nous conduit d’ailleurs inexorablement dans l’impasse, en imprimant une récession économique qui débouche sur 1 000 licenciements par jour en cette année 2013.
Avant d’être offerts au privé semble-t’il, ce qui serait une forfaiture, ces emplois d’avenirs sont proposés aux associations et collectivités.

Associations pour une bonne partie d’entre elles, qui saisissent ces contrats en lieu et place de pouvoir salarier un professionnel. Pourquoi ce choix : pour tenter de répondre à un besoin social nécessaire, et à une demande institutionnelle, pour laquelle ils n’ont pas les subventions.

150 000 emplois d’avenirs pour contribuer à résorber le chômage qui touche 3 500 000 demandeurs d’emplois de catégorie A, et 5 000 000 toutes catégories confondues, sans évoquer le nombre de travailleurs pauvres. On voudrait nous faire prendre des vessies pour des lanternes, que l’on ne si prendrait pas autrement !

Emploi d’avenir qui dénature le CDI, et précarise un peu plus les salariés comme la nouvelle loi l’ANI, souhaitée par le MEDEF, et voulue par le gouvernement, mais vilipendée par une majorité de salariés, et qui va accroitre la pauvreté et la désespérance.

Pour lutter contre le chômage des jeunes, ne vaut-il pas mieux comme nous le faisons au sein de notre collectivité, une politique d’apprentissage ambitieuse pour mener à un emploi durable, nous avons d’ailleurs « stagiairisé » deux apprentis. Alors quelle est la finalité de ces emplois d’avenirs, si ce n’est, comme bien souvent, un effet d’aubaine pour faire face à des besoins permanents ?

Nous allons donc avoir de la main d’œuvre pour pas chère, qui va augmenter l’effectif des agents précaires de la mairie, alors que par ailleurs nous avons mis en place une politique de résorption de la précarité…
Nous contribuons par ce choix à appauvrir, et à fragiliser le statut de la fonction publique, et son efficience à moyen terme, nous sommes en contradiction avec la politique que nous menons en direction des agents, avec beaucoup de difficultés certes, mais avec des réussites.
Alors qu’il nous faudrait une politique ambitieuse à tous les niveaux, qui devrait passer par le partage des richesses, par le partage du temps de travail, entre autre. Nous en sommes encore aux mesurettes pour amuser la galerie, pour faire croire que l’on s’attaque résolument au problème. Ce sont les mêmes objectifs qui dictent cette politique, qui est de contraindre les salariés à payer un lourd tribu pour permettre à une « élite » de continuer à jouir de leur argent, et à poursuivre leur jeu de massacre de la protection sociale, et ce au nom de la sacro sainte règle libérale.

De plus, paradoxe de la situation, et qui vient compléter le tableau, nous avons des jeunes au chômage mais aussi des salariés de plus de 50 ans licenciés qui ne retrouvent pas de travail, et l’on va exiger de ces derniers, de travailler plus longtemps ? Ou ? et dans quelles conditions ?

Je pose la question à quand un Contrat pour les Seniors Sans Avenir, avec son cortège d’atteinte à la « dignité salariale » et la boucle sera bouclée !

Pour conclure

Je vous le demande seriez vous prêt à accepter un emploi sans avenir, ou à le souhaiter pour vos enfants, avec sa rémunération, son absence de perspective, si ce n’est celle d’avoir une reconduction de contrat, ou celle de retourner à la case départ ?
Démystifions l’intérêt de ces emplois, qui, comme disent ceux qui ne sont pas concernés,

« que c’est mieux que rien, et qu’il faut s’en contenter »

Si nous devons répondre à des besoins économiques et sociaux, créons de vrais emplois.

Vous l’avez compris, nous voterons contre la mise en place de ces emplois d’avenirs, qui ne sont que des emplâtres sur une jambe de bois.

Je terminerai par cette citation d’Albert Jacquard :

« le véritable remède contre le chômage, est qu’il n’y ait plus de travail pour personne, mais pour chacun une véritable place dans la société »

Serge Lebreton

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Mar 28

Cognac, budget 2013

Intervention des élus du PG au vote du Budget 2013 à Cognac
Comment, dans un débat budgétaire, qui n’en est pas un, pouvons nous nous retrouver ?
Comment pouvons nous retrouver les valeurs que nous portons, celles que nous sommes censés partager ?
Cet exercice obligé qu’est le débat d’orientation budgétaire est aujourd’hui vidé de son sens, au prétexte que la crise impose à tous la même analyse et les mêmes solutions : nous vivons au dessus de nos moyens, nous sommes endettés il faut donc couper dans les dépenses, réduire la voilure, limiter les services…
Le temps du débat d’orientation et de préparation budgétaire ne nous invite plus à analyser réellement nos forces et nos faiblesses, à nous interroger sur les besoins des cognaçais, sur les solutions nouvelles et sur les objectifs que nous souhaitons faire partager par tous afin de mieux vivre ensemble.
Nous, élus du Parti de Gauche nous ne nous reconnaissons plus dans ce débat frappé du sceau de la financiarisation et de la marchandisation, inspiré par la pensée unique, par le politiquement correct.
Nous pensons, qu’il n’y a pas de fatalité à conduire des politiques d’austérité, que notre pays n’a jamais été aussi riche (les dirigeants du secteur économique emblématique de notre ville ne nous contrediront pas sur ce point) qu’il n’y a pas d’obligation à toujours tirer vers le bas.
Nous vous proposons au contraire de mobiliser toutes les énergies en faisant jouer les outils et les objectifs du socialisme écologique au service de la confortation de notre modèle social tel qu’il avait été imaginé par le Conseil National de la Résistance et obtenu par les luttes sociales et sociétales, les victoires politiques et le vote de lois de progrès.
Nous aurions aimé que ce budget affiche clairement nos priorités :
  • écouter et impliquer les citoyens,
  • agir pour plus de solidarité envers ceux qui souffrent de la crise et qui avaient cru en mai qu’on pouvait faire mieux dans ce domaine,
  • réorienter nos investissements vers l’écologie et l’économie sociale,
  • développer les services publics et instaurer la gratuité de leur accès,
  • engager une réflexion politique et citoyenne à l’échelle de Grand Cognac pour définir les actions prioritaires à mener sur notre territoire…
Nous serions alors satisfaits.
Nous tenons aussi à réaffirmer que nous ne nous trompons pas de combat, que nous n’oublions pas le triste bilan économique, social, culturel, idéologique de 10 années de gouvernance droitière sans partage, de cadeaux aux plus riches, de ruine de l’éducation nationale, de remise en cause des droits, de mépris pour les plus faibles, de bling bling…
C’est avec ces éléments de mémoire que nous voudrions  toujours nous reconnaître dans la majorité municipale, notre échelle de valeurs n’a pas changé et nous avons la prétention de penser qu’elle a un bel avenir.
C’est donc en faisant un pari sur cet avenir que nous voterons le budget tout en continuant à l’analyser, à chercher à l’améliorer et surtout à lui donner du sens, à vouloir en faire une arme politique de combat contre celle inspirée par un seul but : répondre aux exigences de la finance.

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Mar 12

Pas de rabais pour l’Education Nationale !

A propos de « Rythmes scolaires : pris au piège », je vous fais part de ma réaction publiée par CL sur le même sujet.

La Charente Libre a interviewé le Directeur académique de la Charente (Grand Cognac : des rythmes scolaires qui divisent)

Il a notamment déclaré ce qui suit, en parlant des communes : « J’entends qu’elles vont être dans l’obligation de recruter du personnel hyperqualifié pour le temps périscolaire, je m’inscris en faux. On n’est pas dans cette logique. »

Monsieur le Directeur académique seriez-vous dans la logique de la non qualification ou de celle au rabais ? Avez-vous en tête ce qui s’est passé pour les contrats CES et les contrats Jeunes ? A cette époque, j’étais actif dans l’institution et vous ne pourrez jamais me contredire si j’affirme que ces jeunes n’ont eu aucune formation sérieuse, tout au plus des semblants sans validation possible, et ils se voyaient confier des élèves sans aucun soutien ni contrôle ! La réalité, c’est celle-là et le même phénomène va se répéter.

La réorganisation indispensable des rythmes c’est l’année, la semaine et la journée SIMULTANEMENT. En programmant la réforme des vacances d’été pour 2015 après avoir mal institué la semaine de 4 jours 1/2, on se fiche de nous et ça n’est pas sérieux ! Mais pendant ce temps on ne parle pas du reste…

Jean-Michel Pascal


Bien démocratiquement”

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Mar 10

Pas de rabais pour l’Education Nationale !

La Charente Libre  a interviewé le Directeur académique de la Charente (Grand Cognac : des rythmes scolaires qui divisent)

Il a notamment déclaré ce qui suit, en parlant des communes : « J’entends qu’elles vont être dans l’obligation de recruter du personnel hyperqualifié pour le temps périscolaire, je m’inscris en faux. On n’est pas dans cette logique. »

Voici le post que j’ai laissé sur CL :

Monsieur le Directeur académique seriez-vous dans la logique de la non qualification ou de celle au rabais ? Avez-vous en tête ce qui s’est passé pour les contrats CES et les contrats Jeunes ? A cette époque, j’étais actif dans l’institution et vous ne pourrez jamais me contredire si j’affirme que ces jeunes n’ont eu aucune formation sérieuse, tout au plus des semblants sans validation possible, et ils se voyaient confier des élèves sans aucun soutien ni contrôle ! La réalité, c’est celle-là et le même phénomène va se répéter.

La réorganisation indispensable des rythmes c’est l’année, la semaine et la journée SIMULTANEMENT. En programmant la réforme des vacances d’été pour 2015 après avoir mal institué la semaine de 4 jours 1/2, on se fiche de nous et ça n’est pas sérieux ! Mais pendant ce temps on ne parle pas du reste…

 

Jean-Michel Pascal

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Mar 09

Que de sollicitudes politiciennes !

Réponse à l’article CL concernant Monsieur Noël Belliot :

http://www.charentelibre.fr/2013/03/08/gourinchas-ratisse-large,1143026.php#commentairesArticle



« Noël Belliot semble même s’inquiéter pour les «amis politiques» de Michel Gourinchas »

Votre sollicitude est touchante Monsieur Belliot, mais les colistiers PG-FDG de la majorité Municipale sont majeurs et vaccinés et que je sache, puisque je suis un adhérent PG, fidèle au travail de son parti, nous n’avons pas, contrairement aux allégations de Monsieur le Maire, pris de décision quant à ce qui se fera ou pas en 2014.

Nous n’avons eu aucune rencontre avec nos alliés du PS sur le sujet des municipales et lorsque ce sera fait, nous ne manquerons d’en informer les électeurs de Cognac et la presse sera aux premières loges.



Rappel : http://www.charentelibre.fr/2013/03/08/gourinchas-s-ouvre-a-la-droite,1142861.php



Bien démocratiquement”



Fraternellement

Jean-Mi

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Mar 08

Démocratie municipale ?

Suite aux deux articles de Charente-Libre et Sud-Ouest du 7 et 8 mars 2013, voici mon commentaire :

Je suis un simple adhérent du PG de Cognac qui participe régulièrement aux réunions. Monsieur le Maire de Cognac, par presse interposée m’apprend ce que mon parti aurait décidé de faire en vue des prochaines élections municipales. Quelle surprise !

Que je sache, il n’y a jamais eu de rencontre PS-PG ou PS-Front de Gauche pour envisager ce qui se fera ou ne se fera pas en 2014. Michel Gourinchas qui est passé par à peu près toutes les couleurs de l’arc en ciel, utilise les interviews dans la presse en lieu et place des réunions politiques.

C’est de la démocratie « new look » tout comme le fait que « Je propose une liste de rassemblement pour Cognac. Une liste ouverte à la société civile et donc à des gens marqués à droite. » Cette formulation a au moins le mérite de la clarté puisque des gens de la société civile sont forcément des gens marqués à droite ! CQFD… La cerise sur le gâteau : Serge a ouvert le feu, donc je me débarrasse du PG ! PRETEXTE…

Bien démocratiquement

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Mar 07

A propos de la réforme Peillon sur les rythmes scolaires

A propos de la Réforme Peillon
(intervention de Sylvie Mamet au conseil municipal de Cognac, le 28/02/2013)

Refonder l’école est une grande et noble cause; il faut pour cela , dans un même temps, renoncer aux objectifs libéraux, car l’école ne peut fonctionner sur les principes de la compétition et du marché ; l’école doit être, pour chacun, le lieu de l’émancipation.
L’école obligatoire et gratuite, pour tous, des diplômes de même valeur, qu’ils soient obtenus au fin fond des Pyrénées ou à Neuilly… sont autant de principes républicains qui ne s’inscrivent pas dans le projet que monsieur Peillon nous présente par petits bouts : un texte sur les rythmes scolaires, une phrase sur le bac, une autre sur les vacances…
Monsieur Peillon lance des ballons d’essais… sans concertation véritable… provoquant un tollé général et un refus du Conseil supérieur de l’éducation.
Ce qu’il nous laisse entrevoir, parait bien être le démantèlement du cadre national…
Cette idée d’une école à la carte, territorialisée , ouvre la porte à l’école à plusieurs vitesses.
Après la santé, c’est le tour de l’éducation !
Il n’est pas neutre, ni anodin de faire passer certaines activités vers le périscolaire,  qui , dans la plupart des cas est… facultatif… et… payant. A la trappe la gratuité !
Quand les territoires ne seront pas en capacité de faire… on va externaliser. Bienvenue aux instituts privés en tout genre, qui déjà se frottent les mains, face à l’espérance de ces nouvelles sources de profits…
Chaque territoire aura ses propres propositions, sa formation, en fonction de la richesse du pays, de l’orientation d’untel ou que sais-je d’autre…
Le bac revisité serait frappé du sceau de son origine. Pas sûr que celui qui proviendra du 9.3 ait une grosse cote !
Pour que l’école se porte mieux, redonnons lui les moyens de fonctionner !
Cette réforme n’est pas acceptable car elle  aggrave les inégalités, elle attaque sans vergogne le principe de la gratuité et renverse le cadre national.
Loin de refonder l’école, Peillon la livre au marché !

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